Philippe Collin prend à bras-le-corps la vie de Franck Meier pour nous la proposer à sa lumière. Et, cette vie, exceptionnelle, devient savoureuse tant l’historien journaliste aime recréer, en sept parties, l’ambiance de l’époque de l’entre-deux-guerres jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Le bar élégant du Ritz évolue sous nos yeux avec ses privilégiés, artistes, banquiers ou autres, qui côtoient les officiers nazis.
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Ce court roman est prétexte à Erri de Luca pour partager ses réflexions, continuer à travailler sa dextérité littéraire comme le vieil horloger travaille sa dextérité manuelle avec son jeu de Mikado. Leurs échanges permettent des remarques, souvent d’une poésie étonnante,  d’un humaniste sans conteste. Car pour l’écrivain, au jeu de Mikado, « Prendre le bâton noir sans déplacer (ou gêner) les autres » est un de ses principes de vie primordiaux, toujours présent au fil de ses écrits.« 
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Envie de vous évader de France pendant les Jeux Olympiques, alors, New-York peut être une bonne alternative ! Et, pour accompagner votre découverte, ce guide Soul of New York qui recense trente expériences, les meilleures, pour découvrir cette ville féerique, en dehors des sentiers battus. C’est une façon de découvrir la ville avec des expériences inoubliables, des visites dans les endroits qu’on découvre au fil des pas, pour appréhender l’âme de cette ville monde.

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J’ai fait la connaissance de L’homme aux mille visages par le film éclairé de la rencontre avec sa réalisatrice, Sonia Kronlund. Donc, L’homme aux milles visages en avait un puisque le film le retrouve dans la banlieue de Cracovie en Pologne…
Le récit L’homme aux mille visages complète parfaitement le film. Il ne remplace pas la puissance de la rencontre avec ce manipulateur que permet le film. Pourtant, le livre permet d’approfondir les ressentis de la journaliste, Sonia Kronlund et son équipe, ses interrogations et ses analyses au fur et à mesure que se déroule son enquête. Avec ou sans le film, L’homme aux mille visages interroge et émeut à la fois.
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Franck Thilliez s’est imposé comme Le Maître du thriller français. Chaque année, il en publie un, soit avec ses personnages récurrents Sharko & Henebelle, soit, comme ici avec Norferville, un « one shot ».

En travaillant les sujets de fond, Franck Thilliez réussit à développer un couple d’enquêteurs qui doivent résoudre le meurtre d’une jeune femme particulièrement sordide. La scène inaugurale du meurtre de Norferville ne déroge pas au style habituel de l’écrivain en décrivant la cruauté du mal. Outre le froid glacial, Franck Thilliez réussit en plus de la maîtrise du suspense à informer sur des sujets actuels.

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